Étape 13 : Visite de Bruxelles.

Vendredi 15 août. En France, c’est férié. En Belgique aussi.

J’ai bien dormi. Je laisse mes affaires dans la chambre et retrouve Janice en bas de l’immeuble. Elle est venue avec une amie, Marie-Sophie.

Depuis quelques années, je connais plusieurs personnes en Belgique, par le biais d’une bande de potes que mon frère a constitué et qui se retrouve tous les ans pour un barbecue. J’en parlerai davantage lors des étapes du retour.

Parmi ces personnes, il y a Sylvain, un franc-comtois expatrié à Bruxelles dont j’ai parlé précédemment. J’avais espéré le retrouver ici, et éventuellement rentrer avec lui. Mais ce n’était pas possible par rapport à ses propres contraintes. Il quittait Bruxelles au moment où j’y arrivais, et avec une voiture déjà pleine. On s’est ratés de peu.

Mais quelque chose me dit que je le verrai prochainement…

Et il y a Janice. Elle est Wallonne, pas originaire de Bruxelles mais elle y vit depuis quelques temps.

Cela tombe très bien. J’ai envie de venir dans ce pays depuis que j’y connais des gens, alors ça aurait été bête que je les rate tous.

Je connais quelques autres Wallons et Bruxellois, mais je n’ai que peu, voire plus du tout, de contacts avec eux… et certains vivent actuellement en France.

Après ces précisions, place aux photos.

Nous démarrons notre visite, à pied et en métro. Janice n’est pas à l’aise à vélo en ville. Même si parfois elle aimerait. Elle dit que ça lui simplifierait la vie.

Au programme du matin : le Palais Royal, puis l’Atomium.

Comme d’habitude, il y a un peu de tout sur mes photos. Ça va des aménagements cyclables aux monuments en passant par toute chose insolite ayant attiré mon attention.

Le temps changera plusieurs fois au cours de la journée, pluie fine, grand soleil, ou drache.

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Palais Royal.

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Marquages cyclables bien visibles.

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Visite à vélo en groupe.

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Marquage de chantier, qui n’oublie pas les cyclistes.

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Métro. Oui, une station s’appelle Houba.

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Garages à vélos.

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Plus grand stade de Belgique.

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Bâtiments abritant des congrès et des expositions.

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Atomium.

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Nombreux vendeurs de gaufres. C’est aussi caractéristique de la Belgique que les frites et la bière. Il y a les gaufres de Liège et celles de Bruxelles. Je résiste à la tentation. Mais j’ai déjà mangé ce matin mes gaufres de Liège achetées au supermarché hier.

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Près de l’Atomium, un parc avec un cinéma, des attractions, et pas mal de restaurants et bars en tous genres (ça va du Quick au bar à cocktails en passant par le restaurant Mexicain et bien sûr la friterie).

Il y a notamment l’attraction Mini-Europe qui me tente bien mais c’est cher. J’irai plutôt voir ça avec Ai, si un jour on est là tous les deux et que ça l’intéresse.

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Le carroussel est assez ancien. Il a pas loin d’un siècle.

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Janice et Marie-Sophie.

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Retour au métro. Notez qu’on peut y accéder avec un vélo. Ce n’est pas demain la veille qu’on verra ça à Paris.

Pour marquer la fin de mon voyage, en Belgique, j’ai décidé de manger une fois de frites. C’est aussi un test : ces derniers temps, je ne digérais plus du tout les pommes de terre. On va voir si ça va mieux.

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Nous mangeons dans un petit fast-food comme il y en a plein ici. Je ne crois pas que ça soit la meilleure friterie de Belgique, mais Janice me dit que la meilleure friterie est vers chez elle, à la campagne.

Quoi qu’il en soit, ce sont des frites et ça fait tellement longtemps que je n’en ai pas mangé que ça me paraît délicieux. Le truc bizarre à côté est au poulet. Je me limite aux viandes blanches.

Marie-Sophie doit se rendre sur son lieu de stage (juste en face du fast-food, ce qui est la raison de notre arrêt dans celui-ci). Un espace consacré à Maurice Béjart. À la base, elle devait juste déposer des clés, mais finalement elle doit y rester l’après-midi. Nous lui disons au revoir, après en avoir profité pour visiter le lieu.

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Maurice Béjart et la danse, cela ne me parle pas beaucoup. Mais j’apprécie le bâtiment.

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Ainsi que ces jolis automates anciens de Francis André.

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Mais Béjart, ça me fait surtout penser à la Messe pour le Temps Présent, et à la musique de Pierre Henry et Michel Colombier que j’ai en vinyle.

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Vinyle que je retrouve ici.

C’est un disque relativement facile à trouver sur les brocantes. Pas ultra courant, mais pas rare non plus.

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Nous repartons vers la ville.

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Tiens, des supports publicitaires qui servent aussi de parkings à vélos. Ou l’inverse.

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Dans certaines villes, lorsque vous voulez prendre en photo des monuments ou sculptures insolites, il vous faudra soit attendre une éternité, soit repartir avec une bande d’illustres inconnus posant devant. C’est le cas à Bruxelles. Je n’aime pas attendre.

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Nous passons à la gare centrale. J’ai en effet décidé de rentrer demain. Je resterais bien un jour de plus dans cette ville, mais je crois qu’avec Janice j’aurai déjà pas mal visité en une journée. Et si je reste davantage, il faudra trouver un hébergement supplémentaire.

Par ailleurs, même si j’ai aimé ce voyage, j’ai envie de rentrer quelques jours avant le retour de Ai (le 19) et de résoudre enfin les choses qui traînent (voiture, etc.).

Pour aller de Bruxelles à Besançon, le plus classique est de prendre un TGV vers Paris, puis pédaler de la gare du Nord à celle de Lyon, puis de reprendre un TGV pour Besançon.

Sauf que mettre un vélo dans un TGV, c’est toute une histoire. Je devrai au mieux le pendre (et enlever tous les bagages), au pire le démonter et le mettre dans une housse (que je n’ai pas).

En plus, ça me coûtera de l’argent, en plus du prix du billet TGV normal qui sera probablement très élevé, pris au dernier moment. Et je ne suis pas certain de trouver une place disponible…

Je donc directement écarté cette solution.

J’ai utilisé hier soir les sites web des trains Belges, Français et Allemands (car ce dernier donner des informations bien plus précises sur les trains Français !).

Et j’ai trouvé une solution qui me plaît bien : un train direct de Bruxelles à Basel (CH) qui semble accepter les vélos ! Je pourrai en descendre à Mulhouse, et ensuite ça sera la fin classique de la plupart de mes voyages : un TER pour Belfort, puis un autre pour chez moi.

Au guichet, on me confirme qu’il y a de la place dans le train et que je peux l’emprunter avec mon vélo. Par contre, je paie 90 € pour moi, 5 € pour avoir le droit d’embarquer un vélo sur le réseau Belge (ça donne le droit sur toute la Belgique), et 12 € pour mettre le vélo dans ce train (probablement parce qu’il est international).

Ça représente une somme, mais ça reste moins cher que le TGV Bruxelles – Besançon sans vélo ! Avec les billets de TER, ça devrait revenir à peu près au même.

On m’indique qu’il ne faut pas embarquer à cette gare avec un vélo, mais je peux embarquer dans n’importe quelle autre gare Bruxelloise. En effet, contrairement aux gares Parisiennes, celles de Bruxelles sont connectées l’une à l’autre et désservies l’une après l’autre par les trains qui partent. Et on peut embarquer à n’importe quelle gare sans supplément de prix.

Mes billets de train prennent place dans le sac de Janice, car c’est l’endroit le plus sûr. On veillera à ne pas les y oublier ce soir !

Suite de la visite…

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Un bar, deux friteries et un vendeur de gaufres. Paysage bruxellois typique.

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Galeries Royales. Nous les traverserons un peu plus tard.

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La Grand-Place de Bruxelles est recouverte d’un parterre de fleurs qui attirent de nombreux touristes. Il est difficile de la traverser.

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Ici se trouve une statue dont il est dit que toucher son bras porte bonheur. Je ne sais pas si ça marche, mais ça doit surtout user le bras en question autant que la chouette Dijonnaise.

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Nous faisons un peu de lèche-vitrines dans les magasins de souvenirs. Je n’achète rien mais j’aime bien.

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Il y a énormément de magasins de ce genre. Dans certaines rues, il semble n’y avoir que ça, des bars, des friteries, et des vendeurs de gaufres.

Janice me confirme que peu de gens vivent ici. Il y a surtout des commerces, et au dessus ce sont des bureaux.

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Le Maneken Pis est un peu partout. Mais nous approchons du vrai.

Avant de le voir, il faut déjà franchir… ça :

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Le voici.

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Quand je dis que dès qu’il y a un truc insolite il y a quelqu’un qui pose devant…

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Boîte aux lettres… décorée.

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Maneken Peace. Une fresque gigantesque mais impossible à photographier correctement (manque de recul, et peinture très brillante).

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Traversée des Galeries Royales.

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Nous nous rendons au Délirium, un grand bar dans un coin où il n’y a que des bars et des restaurants.

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Je vais boire ma première bière depuis très longtemps. Comme les frites, c’est pour marquer la fin du voyage, et parce qu’on ne peut pas raisonnablement être en Belgique sans boire une bière.

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Janice me conseille la Piraat. Bon choix.

Le menu est énorme. Je me demande si quelqu’un les a déjà toutes goûtées. Certaines ont des noms originaux…

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Nous repartons. L’après-midi touche à sa fin.

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La publicité gigantesque sur un bâtiment ancien n’est pas du meilleur goût.

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Autre façon de faire de la pub… mais elle s’est prise un PV !

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Tiens, je retrouve ici la chaîne de magasins Hema comme aux Pays-Bas.

D’ailleurs, la plupart des commerces sont des chaînes qu’on retrouve partout. J’ai les mêmes à la maison : Celio, Nicolas, Jennyfer… Les offres commerciales des centre-villes Français s’uniformisent de plus en plus, et je découvre que cela ne s’arrête pas à la frontière.

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Alors qu’une petite pluie revient, je demande à Janice si elle peut ressortir son parapluie, qu’on avait ce matin. Elle me dit qu’elle pensait que je l’avais.

Après réflexion, il est resté où nous avons mangé. Nous retrouvons l’endroit mais pas le parapluie. Elle venait de l’acheter.

Je considère que c’est de ma faute car c’est moi qui l’ai posé là-bas. Je lui rembourse les 4 € qu’il lui avait coûté. Ce n’était pas un parapluie de luxe…

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Un Brompton.

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Retour rue Royale.

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Celui qui a peint ce marquage était-il bourré… ou anglais ?

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Me revoici au 123. Je dis au revoir à Janice qui rentre chez elle.

À l’atelier, des bricoleurs ont entrepris de construire un vélo porteur. Il y a encore du travail, mais ils semblent en être capables.

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Dans les parties communes, les murs sont décorés de différentes fresques.

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Je descends une dernière fois le colimaçon avec mes affaires, après avoir remercié Réginald. En effet, ce soir je ne dors pas ici. La chambre est réservée pour quelqu’un d’autre. Mais j’ai trouvé un autre hébergement sur Warmshowers.

J’ai donc une « étape » à faire, la plus courte du voyage évidemment. Google Maps donne un itinéraire de 2,6 km à vélo (contre le double en voiture).

C’est relativement simple, bien aménagé pour les vélos (comme globalement l’ensemble de la ville), et j’arrive très rapidement.

Mais pendant ce court trajet, j’ai repensé à mes billets de train…

Et merde !

Comme vous vous en doutez, ils sont restés dans le sac de Janice. Et je ne sais pas où elle habite. Heureusement, j’ai son numéro de GSM – les Belges ne disent pas « portable ».

Entre mon smartphone qui déconne toujours et elle qui ne répond pas du premier coup, c’est un peu compliqué. Mais je finis par la joindre avec l’iPhone de mon hôte.

Elle me donne son adresse. Ce n’est pas si loin. C’est parti pour une petite course à travers la ville.

Il y a pas mal de trafic dans les rues. Juste assez pour que ça roule lentement sans provoquer de bouchons. Débarrassé de mes bagages et ayant retrouvé une certain forme, j’avance efficacement.

J’adore la sensation que procure le vélo, surtout dans une ville inconnue, aux avenues larges, et sans relief trop difficile.

Je me faufile avec fluidité entre des véhicules motorisés mais ralentis par leur encombrement, et pense – toutes proportions gardées quant aux risques pris – aux vidéos de coursiers à vélo New-Yorkais qu’on trouve sur internet.

Après une petite montée que je gravis à bonne allure, le coursier improvisé repère la bonne adresse et récupère son pli. Ou plutôt ses billets de train.

Je peux rentrer, par le même chemin. Ça descend. Je me repère facilement et improvise même un raccourci à travers un petit parc.

L’aller-retour a représenté un peu plus de 7 km. J’aurai donc pédalé 10 km aujourd’hui. En ville, c’est trois fois rien.

Je suis de retour chez Mathieu et Anne-Lise, qui m’hébergent ce soir. Je peux désormais prendre le temps de faire connaissance avec eux et de discuter.

Ils sont très sympathiques.

Ils ont préparé un repas adapté à ce que je peux manger (haricots verts et viande blanche – deux choses qui passent assez bien et correspondent aux recommandations des médecins et de la naturo, ce qui est rare) et en plus très bien cuisiné. C’est parfait, car même si j’ai fait une exception ce midi avec les frites, et même si ça semble s’être bien passé, ce n’est pas parce que je vais un peu mieux qu’il faut faire n’importe quoi.

Par contre, les choux* à la crème en dessert, ce n’est pas vraiment recommandé. Surtout avec du chocolat dessus. Je résiste mais finis par craquer. Finalement, ça se passe bien. Je suis étonné.

* de Bruxelles, donc.

Après le repas, je tente de recharger mon smartphone pour pouvoir l’utiliser un peu demain, mais il s’allume dès qu’il est branché, puis s’éteint car la batterie est trop faible, puis se rallume… Il fait ça en boucle et cela consomme toute l’énergie qu’il reçoit. Il ne se charge donc pas. C’est très con. C’est désormais plutôt un dumbphone qu’un smartphone.

Heureusement, Anne-Lise me prête un iPhone qui me servira de réveil pour demain, histoire que je ne rate pas mon train.

Bilan :

Une belle journée passée à Bruxelles, très agréable avec une guide sympathique, et qui se termine très bien. J’aime cette ville et y reviendrai avec plaisir.

Je suis content de terminer mon voyage ainsi.

J’ajoute 10 km à mon parcours total, ce qui l’amène à 800.

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