Étape 5 : Féy – Sierck-les-Bains

Jeudi 7 août.

Je me réveille, prends mon petit déjeûner, et charge mon vélo.

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Je dis au revoir à Pierre et Jordane qui m’ont accueilli, et reprends la route en direction de la Moselle.

Il fait beau.

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Je vais reprendre la véloroute là où je l’avais laissée. Ça fait un léger détour, mais je préfère.

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Tiens, un tronçon en béton. C’est rare en France.

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Jouy-aux-Arches.

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Les restes d’un acqueduc romain. C’est impressionnant de voir ces arches aussi parfaitement conservées, tandis que le reste de l’ouvrage a totalement disparu.

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Je continue ma route.

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Un petit secteur en travaux.

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Un autre tronçon non aménagé, revêtu de cailloux, et comportant une jolie (mais très courte) section pavée.

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Rouleau compresseur Richier dans la cour d’une société d’aménagement.

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Traversée de la Moselle sur un long pont. La piste cyclable m’amène directement sur le trottoir, et reprend de l’autre côté.

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Passerelle un peu raide, mais ça se monte sans descendre du vélo.

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Mais à mesure que je roule, mon vélo fait du bruit. Cela claque à l’avant.

Ça vient visiblement du moyeu, car si je fais des mouvements amples avec le guidon, pour appliquer des forces vers la gauche ou vers la droite, cela s’arrête. Mais cela reprend dès que je roule en ligne droite.

Je n’avais pas ce bruit hier.

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J’arrive à hauteur de Metz. Le bruit est de plus en plus fort. Il est clair que je ne peux pas rouler comme cela.

Je regarde sur internet l’adresse d’un atelier vélo associatif dont Pierre et Jordane m’ont parlé. Ils m’ont dit que ce n’était ouvert que le mercredi, mais sait-on jamais.

Sur le site de l’atelier, les horaires indiqués sont plus importants que cela. C’est censé être ouvert en ce moment même. Je décide d’aller voir. Ça semble facile à trouver : en face de la cathédrale.

En plus, cela me permettra de voir cette dernière, plutôt que de passer au niveau de Metz sans m’arrêter du tout.

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Je m’approche de la ville. À un moment, la véloroute change de rive grâce à un pont routier. C’est là que je la quitte en direction du centre.

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Je roule sur de beaux aménagement cyclables, le long d’une voie de bus en site propre.

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J’aperçois la cathédrale.

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Me voici devant l’édifice. Alors que je m’apprête à regarder l’emplacement exact de l’atelier sur mon smartphone, je le vois. C’est vraiment en face.

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J’entre. L’accueil est sympathique.

En quelques minutes, ma roue est démontée. Les billes sont remises en place et regraissées. La roue ne fait plus de bruit. La panne était bien celle que je pensais.

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Comme j’ai précisé que j’avais créé un atelier similaire à Besançon, nous discutons un peu et je visite les locaux. Je remercie ensuite les deux mécaniciens pour leur aide précieuse. J’aurais su réparer, mais je n’avais pas l’outillage avec moi. On ne peut pas tout emporter.

Je repars comme j’étais venu.

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Je franchis le pont et continue mon chemin sur la véloroute.

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Tiens, un tronçon qui semble en cours de réalisation.

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En attendant, il y a une route assez satisfaisante (mais fréquentée) qui permet de rejoindre la suite de la véloroute.

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Il faut juste éviter de s’engager dans le port car c’est « forbiden the cyclists ». Plus d’un cycliste étranger a dû rire en voyant ce panneau.

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Je trouve la suite de la véloroute, apparemment provisoire.

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Il y a un certain trafic cycliste ici.

J’ai faim. Il est l’heure de manger. Je m’arrête.

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Après mon repas, je redémarre tranquillement.

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La piste cyclable franchit une très vaste zone appartenant à EDF. Des panneaux indiquent qu’il s’agit d’espaces naturels protégés.

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Sur une bifurcation (que je ne prends pas) je vois ceci.

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Ça me laisse perplexe.

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Étendues d’eau…

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… ou de bitume.

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Passage le long de l’autoroute. C’est moins calme que les kilomètres précédents.

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Beaucoup d’installations industrielles ici. On y fabrique, entre autres, de l’enrobé et du béton.

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Je croise trois jeunes qui voyagent avec d’énormes sacs à dos… en skate board. Je crois que le vélo est tout de même moins fatigant…

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Il y a pas mal de panneaux d’information au sujet de la véloroute et de l’histoire des lieux traversés.

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Sur la rive opposée à la mienne, des magasins d’usines de vêtements.

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Maison double-face !

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Famille de canards.

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Je croise pas mal de cyclistes, dont quelques voyageurs.

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Cattenom, c’est une centrale nucléaire proche d’ici.

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Hangar à bateaux.

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Pont autoroutier.

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Je ne sais pas ce que signifie le « A3 » mais au moins il y a du jalonnement.

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Je passe à Thionville.

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Une signalisation stupide (et non réglementaire) demandant de mettre pied à terre. Cela faisait longtemps.

Il existe pourtant une signalisation parfaitement adaptée à cette configuration : celle de l’aire piétonne, par défaut autorisée aux cyclistes en France à faible allure.

Évidemment, personne ne descend de son vélo, et en tout cas pas moi.

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Il y a des stands et de l’animation. C’est sympathique.

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Tiens, un camping. Mais c’est trop tôt pour que je m’arrête.

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Voici la centrale nucléaire dont il était question plus haut. Elle produit de jolis nuages…

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Un fauteuil roulant électrique avec… une plaque d’immatriculation de voiture américaine.

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Je croise des voyageurs.

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Premier contact avec le Luxembourg…

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… ce véhicule d’une entreprise Luxembourgeoise.

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L’itinéraire est toujours très bien jalonné, mais plus sous le nom de Véloroute Charles le Téméraire. Il s’appelle désormais Chemin de la Moselle, ce qui est une traduction littérale du nom allemand de la véloroute de la Moselle (Moselweg).

On aurait sans doute pu faire mieux.

Il n’est pas inutile, ici, d’expliquer au lecteur que depuis le début de ce voyage je suis deux véloroutes.

La véloroute Charles le Téméraire, part de la Bourgogne et rejoint la Flandre. Pour cela, elle suit principalement la Saône, puis la Moselle d’Épinal au Luxembourg, puis trace à travers la Wallonie puis la Flandre.

La véloroute de la Moselle, comme son nom l’indique, suit la Moselle de sa source jusqu’au Rhin, à Koblenz, là où j’ai stoppé ma boucle l’année dernière pour prendre le train pour Offenburg.

Si vous avez suivi, vous aurez compris que d’Épinal à la frontière, les deux véloroutes sont confondues.

Or, jusqu’ici, j’aurai pu constater que :

- En Haute-Saône, la véloroute est réalisée à l’ouest du département sous un nom local (Rives de Saône) sans mention du nom Charles le Téméraire. Je n’ai jamais parcouru cette véloroute, mais j’avais fait un ou deux kilomètres dessus avec Quentin. Ensuite, à l’est, elle n’est pas réalisée.

- Dans les Vosges, la véloroute Charles le Téméraire est réalisée entièrement, comme vous avez pu le constater avec moi dans ce récit. Je crois qu’il en est de même de celle de la Moselle entre la source et Épinal, mais je ne l’ai jamais parcourue. Par contre, elle n’est absolument pas jalonnée, ni sous un nom local, ni sous le nom du Téméraire, ni sous celui de la Moselle…

- En Meurthe-et-Moselle, rien n’est fait à part autour de Nancy.

- Et maintenant, en Moselle, je découvre qu’elle est bien réalisée (avec quelques kilomètres provisoires mais jalonnés). Mais au sud, elle se nomme Charles le Téméraire et depuis Thionville c’est Chemin de la Moselle.

Je me demande où est la cohérence dans tout cela.

Je pense qu’avant de vouloir fusionner les régions on aurait peut-être dû se poser la question de garder ou non les départements… Mais c’est un vaste débat.

Pour l’heure, je franchis une passerelle dont la signalisation mérite un prix spécial de la connerie. Voyez plutôt.

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La demi-barrière comportant ce message menaçant n’est évidemment pas repliable, donc il est très difficile de la franchir en marchant à côté d’un vélo. Par ailleurs, l’espace qu’elle laisse est tellement étroit que mon chargement frotte des deux côtés.

Il y a des baffes qui se perdent.

Il aurait encore mieux valu faire passer la véloroute sur un pont routier avec les voitures.

Une fois cette petite blague de mauvais goût franchie, l’itinéraire est toujours très agréable.

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La machine à nuages s’active…

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Mon ombre aussi. Elle me précède.

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Un petit tronçon emprunte une départementale. Cela change un peu.

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Dans cette descente, je suis doublé par une voiture suivie d’un cycliste sportif qui roule quasiment contre son pare-choc. Il est fort probable qu’il s’agisse d’un professionnel à l’entrainement.

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J’aime bien le panneau « Usine à tubes ». Je suis sûr d’avoir déjà vu cette expression dans la presse musicale…

Je retrouve ici des panneaux mentionnant « Charles le Téméraire », ainsi qu’un camping.

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L’entrée du camping donne sur la véloroute. Difficile de le rater.

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Je n’ai pas cherché d’hébergement sur Warmshowers pour ce soir.

D’abord parce que je n’avais pas d’objectif précis pour ce soir, mais aussi parce qu’après trois nuits chez des gens, aussi sympathiques et accueillants soient-ils, j’ai envie d’être un peu seul dans ma tente.

Ce camping semble être le lieu idéal pour cela. Je m’y arrête même si, vu l’heure, je pourrais rouler davantage.

J’y entre et m’installe dans un emplacement sous les arbres, avec l’électricité pour charger mon téléphone et consulter internet. Je discute quelque peu avec mes voisins, Français, qui sont là en camping-car.

Je télécharge dans mon smartphone les zones que je vais parcourir bientôt : le Luxembourg et une partie de la Wallonie.

En effet, je me suis décidé : je ne suivrai pas la Véloroute de la Moselle jusqu’à Koblenz, mais suivrai la Charles le Téméraire jusqu’aux abords de Bruxelles. Là, je la quitterai pour faire de cette ville le point final de mon voyage.

Il est donc important que j’aie ces cartes dans mon téléphone, car à l’étranger il me coûterait beaucoup trop cher de les charger en direct en 3G comme je le fais depuis mon départ.

En plus des cartes je recherche l’itinéraire de la véloroute au delà des frontières françaises, car je ne le connais pas. Je trouve ce que je veux sur ce site. Mais je crois comprendre qu’elle n’est pas forcément jalonnée. On verra bien.

Bilan :

75 km parcourus aujourd’hui, sur du plat. Une étape très reposante.

Une journée assez agréable, avec une véloroute bien aménagée et correctement jalonnée, des paysages extrêmement plats mais tout de même jolis, et une météo idéale : pas de pluie, et pas de forte chaleur (aucun risque sur ce point cette année !).

En tout, j’ai parcouru 370 km depuis mon départ. C’est modeste mais je suis proche de mon premier objectif : la frontière avec l’Allemagne et le Luxembourg n’est plus qu’à quelques kilomètres.

 

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