La vie d’un J9 dans son milieu naturel : la campagne

Après l’arrivée du J9 au village, je le décharge. Il faut dire qu’il n’était pas monté à vide. Le garage de Besançon était bien plein.

Principalement des meubles et des affaires que nous avions rue de Belfort et que nous n’avions pas la possibilité de stocker à la coloc ni chez mes parents en attendant d’avoir notre propre maison.


Une fois déchargé, il trouve sa place dans la grange de la maison.

Dès les jours suivant, il reprend du service pour vider la grange de mes parents et remplir la mienne…

Il y a de tout : des meubles, des vélos, des pièces de 403, de la ferraille à jeter. Je ferai plusieurs voyages (car le trajet est tellement court qu’on ne s’embête pas à charger de manière scientifique).

Ensuite, il commencera à servir à diverses occasions : transporter du matériel pour les barbecues, transporter du matériel et des matériaux pour les travaux dans la maison et dans celle de ma cousine qu’elle a acheté au village en même temps que moi, transporter du bois pour construire un abri pour son aîné le J7…

Je constate qu’il démarre toujours au quart de tour, mais à condition de l’avoir réamorcé manuellement avant. Le sol de la grange est un peu en pente, donc il a très légèrement le nez en l’air et il se désamorce.

Pendant l’hiver, il restera tranquille dans la grange et redémarrera au printemps.

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