Le 9 mars se tenaient deux soirées à Besançon : Electrophobie à l’Everest, et Junglistic Fever à la Crèmerie. Plutôt que de choisir entre les deux, et étant donnée la proximité des deux lieux, nous nous rendîmes aux deux.
J’arrive à l’Everest peu après 20h, avec mon cousin et un pote à lui (15 ans chacun).
On se dirige vers l’escalier pour nous rendre au sous-sol, là où se tient notre soirée, mais le patron tente de nous en empêcher : « c’est pas commencé », dit-il, « et les jeunes là ne sont pas majeurs ». Pendant ce temps là, ma copine est descendue discrètement. Le patron accepte que je descende aussi, mais il faudra revenir accompagné d’un des DJs pour que les jeunes puissent descendre aussi…
Au sous-sol, nous voyons tout d’abord une décoration excellente : jeux de lumières, grands draps, bancs et tables basses, et le tout bien réparti (DJs du même côté que le bar, contrairement à la fois précédente). Des gateaux apéritifs sont offerts ainsi que du punch.
Côté son, la sono est bien meilleure que la fois précédente. Joe mixe funk et un peu de hip-hop. Sa sélection est bonne mais le mix est moyen.
Ensuite Nedim mixe un petit coup avant de laisser la place à Lisa Jones. Bonne sélection et mix convenable pour un set electro-tech qui donne une furieuse envie de se précipiter sur le dancefloor les bras en l’air.
Vers 23h et des brouettes, Nedim & B-Kit prennent les platines. Cette fois, ils ont laissé la minimale de côté. Ce soir c’est electro-house et electro-tech.
Nous décidons de partir pour la Crèmerie et la soirée Junglistic Fever.
DJ Ekmean est aux platines quand nous arrivons, pour un bon set Drum & Bass. Je dois avouer qu’à côté de la sono installée à l’Everest par le collectif, celle de la Crèmerie ressemble à la chaîne hi-fi de mon salon. Tant mieux, ça repose un peu les oreilles.
Ensuite, un MC et un DJ que je ne connais pas mais qui maîtrisent vraiment ce qu’ils font prennent le relais. C’est excellent.
Finalement on tombe sur un ivrogne qui n’aime pas la musique (qu’est-ce qu’il fout là ?) et qui a une fâcheuse tendance à nous coller. De toute façon, on avait prévu de retourner à l’Everest pour la fin de la soirée alors on y retourne vers 1h.
Là bas la musique et l’ambiance sont excellentes. Le son est puissant, même trop car le volume empêche de se parler, le dancefloor s’agite… Finalement la musique s’arrête vers 2h et il est temps de rentrer chez nous, fatigués mais heureux.