Étape 3 : Lausanne – Besançon

20170701_072441Nous sommes le samedi 1er juillet et il fait beau au moment de partir. Le temps est couvert et il fait frais, mais il ne pleut pas et ne fait pas froid. C’est le temps idéal pour rouler et remonter des côtes jusque dans le Haut-Doubs.

Victoire et Cyril partent avant moi. Ils ont un train à prendre, et leur réveil n’a pas fonctionné, alors ils n’ont pas de temps à perdre. Je pars rapidement après eux.

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Me voici dans les petites rues du village. Je rejoins la route n°9. Je remonte en effet par l’itinéraire que j’avais tracé pour venir.

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À proximité de Lausanne, beaucoup de tronçons de cette route comportent des bandes cyclables ou d’autres aménagements (pistes, voies bus / vélo…).

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Les tronçons non aménagés sont le plus souvent en descente.

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Comme je l’ai écrit ci-dessus, je suis l’itinéraire que j’avais tracé (et qui prenait ici la route n°9) plutôt que d’essayer de suivre des itinéraires pour vélos. À l’aller, l’itinéraire vélo que j’avais voulu suivre m’avait agacé, car j’avais l’impression qu’il me faisait enchaîner les montées et les descentes alors que la route était seulement descendante. Mais je réalise aujourd’hui que la route elle-même comporte, ici, des montées et des descentes.

En fait, c’est le relief du secteur qui est comme ça. En venant du Haut-Doubs, il n’est pas possible d’aller jusqu’à Lausanne en n’ayant que des descentes. Quelle que soit la route, il arrive un moment où on doit franchir des bosses. Je les avais vues sur le profil de l’étape donné par Google, mais je les croyais plus négligeable que ça. Finalement, je n’ai pas à regretter d’avoir suivi ce bout d’itinéraire vélo mercredi soir. Il ne m’a pas particulièrement fait perdre du temps.

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Une fois qu’on s’éloigne vraiment de la ville, les aménagements cyclables se font plus rares.

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Je franchis un chantier. Je respecte la circulation alternée, chose qu’aucun cycliste ne ferait en France mais ici on ne sait jamais.

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Toutefois, quand j’arrive au bout du chantier, les voitures en face ont déjà le feu vert et commencent à redémarrer. Voilà un feu de chantier bien mal réglé pour les cyclistes… Heureusement, les conducteurs m’ont vu et attendent. La voie de circulation serait trop étroite pour se croiser sereinement.

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En Suisse, au bord des routes, on trouve beaucoup de campagnes de sécurité routière, à destination des cyclistes ou des automobilistes…

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Sur la route, je vois un morceau de goulotte électrique tout neuf. C’est bien le genre de chose qui peut me servir en ce moment. C’est long, mais ça ne pèse rien. Je l’emmène.

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L’itinéraire que j’avais tracé quitte un instant la route n°9 pour prendre quelques petites routes qui semblent constituer un raccourci. Ce ne sont pas les mêmes que celles que j’ai suivies mercredi lorsque j’ai pris l’itinéraire vélo n°5. Je les suis.

Une voiture sans plaque d’immatriculation. J’en vois toujours quand je roule en Suisse, et ça m’étonne toujours autant.

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Je recroise des panneaux d’itinéraire vélo, mais je les ignore.

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À un moment, mon itinéraire me fait franchir un pont (d’où est prise la photo suivante) puis passer sous celui-ci (sur la route visible au premier plan sur la photo) et continuer sur un petit chemin (visible au second plan sur la photo).

J’ai un doute car le chemin a l’air grillagé. Je vais voir quand même.

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Je descends du pont et arrive ici. Je prends à droite.

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Je m’engage dans ce qui semble juste être l’accès d’un grand centre de tri postal.

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Effectivement, arrivé ici, le chemin est grillagé. Si je passe à gauche du grillage, j’entre dans le centre de tri postal… Mais à droite du grillage se trouve un panneau qui autorise le passage des véhicules agricoles et des véhicules non motorisés.

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Et effectivement, techniquement, ça passe :

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Enfin, ça passe à vélo, mais l’autorisation des véhicules agricoles me fait plutôt sourire.

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Au bout du grillage, je retrouve un chemin plus classique.

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C’est tranquille et plat. C’est un bon itinéraire pour le vélo.

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Je retrouve ensuite des routes.

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Je suis à nouveau sur la route n°9 et je passe à l’endroit où je l’avais quittée hier pour l’itinéraire vélo n°5. Je ne vais plus la quitter jusqu’à l’approche de la frontière.

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Dans un village, je vois une épicerie (ou une supérette, comme on dit parfois). Un peu plus loin, derrière un mur, je vois cette charrette à bras pleine de courses. En France, ce genre de chose ne se voit plus depuis plusieurs dizaines d’années, hormis dans les centre-ville. Partout ailleurs, c’est le règne des supermarchés et des voitures. C’est dommage, car l’Allemagne, la Suisse et les Pays-Bas (entre autres) nous montrent que cette évolution n’était pas une fatalité.

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Il fait toujours bon mais le temps se couvre de plus en plus.

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Cette borne indique Lausanne à 26 km et Jougne à 20. J’ai déjà bien avancé.

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Revoici le joli tracteur vu à l’aller.

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Ici la route est bordée d’un chemin que je prends. Mais un peu plus loin, il s’en éloigne et je dois franchir l’accotement pour revenir sur la route.

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Je comprends aussi pourquoi, à l’aller, j’avais raté le chemin équivalent. Il n’était pas connecté à la route mais arrivait de sous ce pont de chemin de fer. Ensuite, il longeait la route et j’avais franchi l’accotement pour le rejoindre. C’est dommage de ne pas avoir pensé à connecter ces chemins à la route pour faciliter la circulation des cyclistes.

À partir d’ici, je suis comme à l’aller la voie ferrée sur plusieurs kilomètres. C’est un bon point de repère. Je sais qu’après cela je prendrai le pont qui permet d’éviter Vallorbe, puis j’arriverai très rapidement à la frontière.

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Je marque une pause pour manger un peu.

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C’est amusant d’avoir mis « déchets » dans toutes les langues. Mais en français il y a une faute d’accent.

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En Suisse, on fixe parfois des balais le long des voies ferrées près des tunnels. Étonnant, non ?

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L’explication est ici.

J’approche de Vallorbe.

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Ici, je tourne à gauche.

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Et sans passer sous ce pont, qui a été construit durant une belle année, je m’engage sur le petit chemin par où j’étais arrivé trois jours plus tôt.

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Les nuages sont bas.

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Me voici arrivé au niveau du pont ferroviaire. Comme à l’aller, je respecte la signalisation et je passe à pied.

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Je croise deux VTTistes Suisses (vu leurs maillots) qui, contrairement à moi, font peu de cas de la signalisation.

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Alors que je remonte sur mon vélo, la chaîne saute.

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J’ai un mal fou à la remettre, en utilisant des pinces pour éviter de me sâlir. Je finis par y arriver.

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Je retrouve la route n°9.

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Cette fois, je la quitte pour de bon.

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Nouveau saut de chaîne, et cette fois elle est encore plus coincée que la fois précédente.

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Je n’ai pas le choix. Je dois la prendre à pleine main, avec un résultat qui ne se fait pas attendre…

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Heureusement, la fontaine, ma bouteille de shampoing, et un peu de sable ramassé sur la route me permettront de laver ça correctement.

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Je refais le réglage d’une butée qui est censée empêcher ce genre de mésaventure. Je l’avais déjà réglée hier soir, mais apparemment pas suffisamment. D’ailleurs, c’est pareil pour le dérailleur : sur le pied d’atelier, il semblait passer les vitesses à la perfection, mais sur la route ça n’est encore pas parfait même si c’est beaucoup mieux qu’à l’aller.

Je repars.

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Finalement, jusqu’ici, je n’ai pas vraiment vu de fortes côtes. Ça m’avait déjà étonné à l’aller : je m’attendais à ce que la descente de la frontière à Lausanne soit bien plus franche que cela (un peu comme, il y a cinq ans, la descente du col du Marchairuz en direction de Genève). Mais il n’en fut rien. Finalement, entre la frontière et Lausanne c’est principalement du faux-plat (jusque là où il y a les petites bosses). J’avoue que si ça m’avait déçu à l’aller, ça m’a arrangé ce matin.

Par contre, cette fois, je vais attaquer quelques tronçons très courts mais plus raides, de part et d’autre de la frontière.

Ici, je prends à gauche, contrairement au jalonnement d’itinéraire vélo qui part à droite.

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J’arrive sur un échangeur routier, comme à l’aller.

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Dans les deux sens, la trajectoire des cyclistes est bien matérialisée (même si la peinture est un peu effacée).

Hors de question de prendre à gauche : ça mène directement à l’autoroute.

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Il faut suivre la bande cyclable, à droite.

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Je passe au dessus de l’autoroute. C’est totalement bouchonné.

En fait, on se trouve ici à l’extrémité de l’autoroute. Sur ma droite, c’est l’autoroute. Sur ma gauche (sur la photo ci-dessous), c’est l’endroit où l’autoroute redevient une route classique avant de passer la frontière française. Et là, ça bloque totalement.

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Ça semble bouché depuis des kilomètres. La présence d’un chantier n’arrange sans doute pas les choses.

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J’hésite un peu à m’engager et à passer la frontière en doublant ce long bouchon. Ça pourrait être amusant, et un peu plus rapide que de passer par les Échampés. La route n’est pas interdite aux vélos, d’ailleurs, et beaucoup de cyclistes passent la frontière par là (car le passages des Échampés est peu connu, et celui de la Petite Échelle rajoute un col non négligeable).

Mais deux choses me retiennent.

La première, c’est que je ne sais pas où ça bloque. Si ça bloque ainsi jusqu’à Jougne, ça va. Je doublerai tout le bouchon, puis je partirai en direction des Hôpitaux-Neufs. Mais si ça se débloque au niveau de la frontière ou avant, je devrai supporter jusqu’à Jougne, en pleine côte, un trafic monstrueux et avec des conducteurs énervés d’avoir été longtemps bloqués.

La seconde, c’est que j’aime bien le passage par les Échampés. Il est quand même vraiment agréable, et je n’aurai pas de sitôt l’occasion d’y repasser.

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Je choisis les Échampés.

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Me voici sur la petite route qui y mène.

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J’en profite pour prendre en photo les détails que je n’ai pas pu photographier à l’aller à cause de la pluie.

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Bonne idée de bâcher une voiture de cette façon. Rien de tel pour la faire pourrir plus vite.

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J’aperçois le garage où je m’étais réfugié mercredi sous l’orage.

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Le panneau dit que c’est un cul de sac.

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Pas pour les cyclistes.

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Me revoici en France.

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Je redémarre mon téléphone pour le forcer à se connecter au réseau français.

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Après ces deux jours et demie en Suisse, à ne voir que des voitures récentes et souvent très chères et puissantes, revoici quelques voitures plus normales.

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Ceci dit, mon aversion pour les voitures récentes est pas mal liée à l’attitude de leurs conducteurs (en France) vis à vis des cyclistes. En Suisse, ce problème n’existe pas, ou très peu.

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Il tombe quelques gouttes. Je m’arrête sous cette aire pour manger. Je suis étonné de voir une telle infrastructure ici, le long d’une route qui ne me paraît pas très importante.

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C’est quand même un comble de manger des calamars de marque Orbe, juste après être passé à quelques kilomètres d’une localité Suisse du même nom.

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Je repars. La suite de la journée se fera tantôt sans pluie, tantôt sous de légères averses, mais peu violentes.

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Me voici à Jougne.

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J’évite le raidillon que j’ai descendu à l’aller le long de l’église, et prends une autre rue tranquille.

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J’arrive à la RN57.

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Il est plutôt facile de rouler sur l’accotement, ce qui tombe bien car ici ça monte un peu. En tout cas, je ne regrette pas d’être passé par les Échampés, car dès que j’ai pu entendre le bruit de la RN57, juste après la frontière, j’ai pu constater que ça circulait à vitesse normale dans les deux sens. Si j’avais pris cette route, j’aurais donc vécu un moment très désagréable.

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Me voici sur le gros giratoire à partir duquel la RN57 passe à quatre voies. Moi je vais la quitter ici.

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D’ailleurs, un panneau me rappelle que j’y suis obligé. L’État assume ses choix : on a aménagé ici pour les bagnoles. Les piétons et les deux-roues peuvent aller se faire foutre et faire des détours, et on le leur rappelle au cas où ça ne serait pas assez clair.

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Tiens, ils ont oublié les tracteurs, sur le panneau.

Je ne m’engage donc pas ici :

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Mais plutôt ici :

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À partir d’ici, je redescends : j’ai passé le point culminant de mon itinéraire. Jusqu’à Besançon, il sera principalement descendant. Ça ne veut pas dire qu’il n’y aura aucune montée, hélas, mais il y aura plus de descentes que de montées.

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Tiens, un double-sens cyclable. Ça, c’est chouette.

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(Même si un des pictogrammes est dans le mauvais sens.)

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Il faut que j’aille aux toilettes, et ça tombe bien puisque j’approche des toilettes publiques où je me suis arrêté à l’aller.

Cet endroit ne m’avait pas laissé un souvenir impérissable. C’est censé être tout automatisé et permettre que ça reste propre, mais j’avais déjà des doutes.

Mes doutes se confirment : aujourd’hui, ça pue. Les toilettes sont bouchées par du papier toilette. Il n’y a plus de papier sur le rouleau (heureusement j’en ai dans mes sacoches), plus de savon…

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Pas de doute, le créateur de cette infrastructure s’est bien planté.

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Je passe près de la gare et prends en photo le matériel roulant du Coni’fer. Mais la petite loco vapeur que j’avais vue à l’aller n’est pas là.

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Métabief…

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Je descends très rapidement jusqu’au bord du Lac Saint-Point.

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Je ne ferai pas de photo le long du lac, car elles seraient identiques à celles de l’aller et puis il pleut.

Me voici bientôt là où ma route rejoint à nouveau la RN57. Dans l’autre sens, les aménagements cyclables forment une continuité parfaite depuis la sortie de Pontarlier.

Dans ce sens, c’est la première fois que je passe, et c’est autre chose.

La bande cyclable commence par s’arrêter dans l’accotement, puis on trouve un trottoir qui se rétrécit d’un coup. Je passe sur la chaussée.

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Juste après, la signalisation oblige cyclistes et cyclomoteurs à monter sur le trottoir.

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Or, celui-ci est beaucoup trop étroit pour cela.

Je passe sur le vélo, mais avec mes pieds posés par terre. C’est la seule solution à moins de tenter un exercice d’équilibre (que je tenterais bien et réussirais peut-être… s’il n’y avait pas un trafic susceptible de rendre fatale la moindre erreur).

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Ensuite, c’est mieux.

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Mais arrivé sur la RN57 l’aménagement s’arrête purement et simplement.

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Bon, ça n’est pas si catastrophique que ça : d’une part, il est souvent possible de rouler sur l’accotement, et d’autre part la route est descendante et comme on entre dans Pontarlier la circulation n’est pas rapide.

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Une fois passée l’entrée de Pontarlier, il y a même une bande cyclable.

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J’arrête les photos car il pleut bien. J’ai mis mon poncho (depuis le lac). Je passe par le centre-ville, où je me retrouve dans un cortège de mariage très bruyant.

Je me rends à Biocoop. Je fais des courses car je n’ai plus rien dans mes sacoches d’une part, et surtout parce qu’il est déjà presque 16 heures et il est donc difficile d’imaginer arriver à Besançon ce soir avant la fermeture des magasins. Même si l’itinéraire est majoritairement descendant, il comportera encore quelques belles côtes qu’il faudra prendre le temps de franchir.

Pour cette raison, je fais pas mal de courses. Ça va malheureusement m’alourdir mais c’est nécessaire.

Le magasin Biocoop de Pontarlier est vraiment bordélique comparé à ceux de Besançon. Certains produits sont empilés pêle-mêle, d’autres sont en vrac dans des cartons à même le sol. Mais c’est très sympathique et pas désagréable pour autant. Pour me faciliter la vie, j’ai carrément pris un caddie. Un truc traîne au fond. Il s’agit d’un paquet de chewing-gums bio. Je ne savais même pas que ça existait. Je ne sais pas ce que ça fait là mais je les emmène. Je goûterai. De toute façon, si ça a été oublié par un client, ça a déjà été payé.

Je ressors de Pontarlier par le même itinéraire qu’à l’aller. Me voici à Vuillecin où un panneau m’indique qu’il fait 11°C. Je comprends pourquoi j’ai un peu froid. Mais la seule veste chaude que j’ai avec moi a décidé qu’il était temps de changer de fermeture : celle-ci a cassé lors de mon séjour à Lausanne. Je ne peux donc compter que sur mon poncho et mon imperméable léger pour me protéger du froid.

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J’attaque la côte à la sortie de Vuillecin. Ce tracteur ne monte gère plus vite que moi.OLYMPUS DIGITAL CAMERA

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Me voici sur la route départementale qui mène à Goux-les-Usiers.

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Ça descend.

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Ces deux personnes ramassent probablement des escargots. J’ai une forte envie de pousser un gros cri pour les faire sursauter et venger ces braves bêtes. Mais je n’en ferai rien.

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Après Goux-les-Usiers, il n’est pas question de reprendre l’itinéraire de l’aller. Je ne vais pas redescendre dans la vallée par le chemin à travers champs que j’ai monté à pieds à l’aller. En descente, ça n’aurait aucun intérêt, me ferait perdre du temps, et risquerait de casser mon vélo.

Je prends la direction d’Évillers. De là, je passerai par Longeville et descendrai sur Vuillafans. Cela correspond à l’itinéraire par lequel j’avais quitté la vallée de la Loue avec Ai il y a cinq ans, et ça me permettra d’arriver dans celle-ci là où les aménagements cyclables existent (et également, là où l’ancienne voie ferrée est praticable, ce qui m’offrira donc deux possibilités).

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Me voici à Évillers. En face de cette maison en cours de rénovation, je vois une autre maison avec, sous une remise, une grande table couverte de boissons et d’autres restes d’un repas de fête. Je me dis qu’une famille a dû faire un repas ici et aller se balader.

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Je ne suis donc pas surpris, à la sortie du village, de croiser une grande famille qui se balade.

Je davantage surpris, en revanche, d’entendre quelqu’un appeler mon prénom.

En même temps, des Adrien, il doit y en avoir d’autres. Il appelle probablement quelqu’un de sa famille.

Je me retourne pour vérifier.

Non, non. C’est bien moi qu’on appelle. C’est Nicolas, un copain que je connais de Besançon et à qui j’avais prêté mon vélo-couché il y a quelques années.

On discute quelques secondes. Je lui dis d’où je viens et où je vais. Il me dit qu’il est venu ici avec sa camionnette, et qu’il s’apprête à repartir en direction de Besançon (à Saône). Il me propose de venir boire un coup et ensuite il me ramènera.

En temps normal, je devrais dire non et préférer continuer à vélo. Mais là, il fait froid, il pleut, et surtout ça m’arrangerait de rentrer plus tôt que prévu. Ça permettrait à Ai de rentrer de Belfort dès ce soir, plutôt que d’attendre demain matin. Ça sera plus simple pour demain car nous avons un programme chargé.

J’accepte donc.

Je suis cette grande famille jusqu’à la maison devant laquelle je suis passé il y a cinq minutes. Je me change et remets mes vêtements de ville, car ils sont secs. Je bois un verre de jus de fruit, et quelques minutes plus tard nous voici dans la voiture.

Nous nous arrêtons dans deux champs où Nicolas prévoit de mettre en place des ruches.

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Puis nous partons pour de bon.

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Nous descendons dans la vallée de la Loue. Je ne peux pas m’empêcher de penser que cette descente serait plus sympa sur le vélo, mais pour le reste de l’itinéraire ça m’arrange bien de pouvoir aller plus vite.

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Nous croisons des cyclistes sur les bandes cyclables entre Vuillafans et Ornans.

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En passant dans Ornans, je remarque que la façon la plus agréable d’apprécier cette ville, c’est d’être passager d’une voiture. En effet, quand on conduit il faut regarder la route, et quand on est à pied ou à vélo il y a bien trop de voitures pour pouvoir apprécier correctement la ville.

Après Ornans, nous remontons par la route où j’avais attrapé la voie verte à l’aller. Mais nous devons nous arrêter quelques instants en raison de ceci…

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Un camion charge une voiture qui semble avoir fait des tonneaux. J’espère qu’il n’y a pas de victime. Les gendarmes nous laissent ensuite repartir.

Sur le plateau, nous dépassons un voyageur à vélo bien chargé. Je me demande d’où il vient et où il va pour passer là. Ça n’est pas impossible qu’il arrive lui aussi de Suisse via la vallée de la Loue.

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Nicolas me dépose à Rivotte, et remonte à Saône. Me revoici sur mon vélo, en jean mais ça n’est pas gênant pour rouler en ville. Je le fais tous les jours en semaine.

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Je passe par la Cité des Arts et le pont de Bregille.

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Plus qu’à remonter chez moi par mon itinéraire habituel de retour de la fac.

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Tiens, un con stationné sur la bande cyclable. C’est rare à cet endroit.

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Je prends une rue de mon itinéraire habituel où, par contre, la bande cyclable n’a aucun intérêt et mériterait d’être effacée.

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À l’entrée de chez moi, je tombe sur une voiture immatriculée dans le Canton de Vaud. Ça valait le coup de faire tous ces kilomètres…

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Mon J9 m’a sagement attendu…

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… ainsi que ma voiture qui me sera utile tout à l’heure pour aller chercher Ai à la gare. En effet, je l’ai contactée par téléphone et elle m’a dit qu’elle rentrerait ce soir.

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Je rentre et tombe sur mon coloc Arnaud. Alors que je n’ai même pas encore rangé mes affaires, mon téléphone sonne : c’est un voyageur à vélo qui a vu mes coordonnées sur Warmshowers et qui souhaite dormir ici ce soir. Je lui dis que c’est bon. Lui et son compagnon de route ont démarré de Basel ce matin. Sacrée étape. Ils arriveront vers 22 heures. Entre temps, j’aurai pu aller chercher Ai et manger avec elle et Arnaud.

Demain, une balade en Haute-Saône nous attend, mais pas à vélo.

Bilan :

Environ 85 km parcourus à vélo aujourd’hui, et 45 en voiture, ce qui fait un total d’environ 250 km de vélo (si on inclut les kilomètres parcourus durant les deux jours à Lausanne). C’était donc un très petit voyage.

Je suis ravi d’être retourné en Suisse à vélo et d’avoir découvert des itinéraires que je n’avais pas testés lors de notre précédent voyage là-bas en 2012. Je suis très content également d’avoir assisté pour la première fois à la Swiss Mobility Conference, ce qui me sera utile pour la suite de mes travaux.

 

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3 réponses à Étape 3 : Lausanne – Besançon

  1. Naomi dit :

    Salut, sympa ton voyage! Je vais faire Besançon – Lausanne dans quelques jours à vélo et j’aurais voulu savoir si tu avais un itinéraire sur une carte ou les lieux clés par lesquels tu es passé que tu pourrais me filer? :)

    • Adrien dit :

      Je vois ton message trop tard. Sinon, je t’aurais renseignée avec plaisir. Ceci dit, en lisant tout le récit, il était possible de retracer sur une carte l’itinéraire parcouru.

  2. Antoine Mischler dit :

    Merci pour ce récit très détaillé qui donne envie d’effectuer le trajet m’a permis de planifier facilement l’itinéraire avec une petite variante, je pense suivre intégralement la voie vélo 5 entre Orbe et Lausanne, même si cela rajoute quelques kilomètres.

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