Le stage mécanique du Club 403 est organisé chaque année, quelque part en France, chez un adhérent qui veut bien s’en charger. Cette année, c’est chez le trésorier du club, dans un petit village des Vosges. Le stage est gratuit, mais il faut être adhérent au club.
C’est ma première participation. Cela fait un an que j’ai ma 403 et que je suis inscrit sur le forum du club, mais jusqu’ici je n’étais pas encore adhérent. J’attendais le bon moment. Il est arrivé ! J’ai donc pris avec moi un bulletin d’adhésion correctement rempli, et le chèque qui va avec. Me voici officiellement membre du club et admis parmi les mécaniciens, chevronnés ou en herbe.
Jeudi 14 juillet
Vers 14 heures, les participants sont presque tous là. Ceux qui ne sont pas encore arrivés ne vont pas tarder.
Nous sommes une douzaine de participants, dont deux Belges et une Suisse.
Prénommée Michèle, cette dernière a racheté la 403 de sa famille et cherche à comprendre comment cela fonctionne. Elle part de zéro. Son niveau de connaissance est à peu près celui que j’avais il y a deux ans, quand j’ai acheté mon J9. Je ne serai donc pas le plus faible en mécanique du stage. Son mari est venu avec elle mais, n’ayant pas le moindre intérêt pour la mécanique auto, il passera ces quelques jours à faire du vélo dans les Vosges. Bref, c’est un couple qui cumule deux de mes principaux centres d’intérêt et il faudra qu’on garde le contact.
Les autres participants ont des niveaux de compétences variés : certains connaissent déjà bien certains aspects de la mécanique, d’autres ne l’ont que survolée (ou connaissent d’autres voitures mais pas encore bien la 403). Je me rendrai assez vite compte que je ne suis pas « à la traîne » par rapport au groupe, même si mon point faible est le manque de pratique. En étant récemment parti de zéro, c’est plutôt encourageant.
Certains ont plusieurs 403, et d’autres une seule. Ceux qui en ont le plus ne sont pas forcément ceux qui en ont le plus qui roulent…
Nous prenons place dans une grande salle qui se prête bien aux cours théoriques dispensés par Jean-Marc : elle est vaste, agréable et lumineuse, et le paysage visible par les fenêtres nous convient bien.
Toutes les documentations nécessaires sont là…
Ainsi qu’un certain nombre d’accessoires mécaniques, électriques, et pédagogiques !
Premier atelier : le catalogue de pièces
Je n’aurais pas pensé que le catalogue de pièces puisse nécessiter un atelier à lui tout seul.
À vrai dire, au départ, quand on m’a conseillé de m’en procurer un ainsi qu’une revue technique, j’ai bien compris l’intérêt de celle-ci mais je n’ai pas compris à quoi pouvait servir un catalogue de toutes les pièces existant sur le véhicule.
Maintenant, cela m’apparaît comme une évidence : lorsque l’on cherche à remplacer une pièce manquante ou cassée sur le véhicule, le catalogue de pièces est, avec ses nombreux schémas et vues éclatées, la seule façon de savoir exactement de quelle pièce on a besoin, avec sa référence, afin de la commander (notamment au Club 403, qui propose à ses adhérents un certain nombre de pièces à des prix défiant toute concurrence, seconde bonne raison d’adhérer, en plus du stage mécanique).
Aujourd’hui, grâce à Jean-Marc, le catalogue de pièces n’a plus aucun secret pour nous.
Second atelier : l’allumage
L’un des participants présents aujourd’hui ne pouvant pas rester les jours suivants pour des raisons personnelles, l’allumage est mis à l’ordre du jour de la séance d’aujourd’hui. Jean-Marc nous explique son fonctionnement, en long, en large et en travers.
Le temps passe vite, et nous arrêtons peu après 18 heures.
Il avait été annoncé, au départ, que les repas du soir seraient pris à l’extérieur. Mais un soir de 14 juillet, il ne sera pas forcément simple de stationner en ville et de trouver un endroit où manger. Le repas est donc pris sur place. Personnellement, cela m’arrange : d’une part, parce qu’on est très bien ensemble chez Alain, et d’autre part parce qu’il n’y a pas de petites économies…
Pendant le repas, nous admirons ces deux belles 403.
Le soir, après le repas, il était envisagé d’aller voir les feux d’artifice en ville. Mais ça ne tente finalement pas grand monde et nous restons ici.
C’est l’occasion de jeter un œil aux 403 des deux participants qui sont arrivés alors que nous étions déjà installés dans la salle.
Cette 403 commerciale est de 1959, comme la mienne.
Je me couche dans ma tente, et si je me suis senti bien ici toute la journée, c’est maintenant que je réalise que la route principale du village, que je n’ai pas empruntée mais qui passe de l’autre côté de la maison, est passante et donc très bruyante. Ce n’est pas qu’il y passe énormément de véhicules, mais il n’y a pas grand chose pour arrêter le bruit et chaque véhicule qui passe est entendu pendant plusieurs minutes.
Je mets donc pas mal de temps à m’endormir.
Vendredi 15 juillet :
Pas le temps de traîner au lit, car il faut prendre le petit déjeuner avant la reprise des cours à 8 heures.
Pendant celui-ci, les participants qui, comme moi, étaient déconnectés de l’actualité durant la nuit, sont mis au courant par les autres de l’horreur qui s’est déroulée à Nice durant la nuit. Dans de telles circonstances, je ne suis pas mécontent d’être ici, à la campagne, et de penser à autre chose qu’aux atrocités dont l’humanité est capable.
Troisème atelier : le moteur
L’atelier de ce matin est consacré au moteur dans son ensemble. Tout est passé en revue : l’arbre à cames, le carburateur, les soupapes et les culbuteurs, l’allumage à nouveau, le refroidissement…
Jean-Marc illustre ses cours avec des pièces détachées, des montages fabriqués spécialement dans un but pédagogique, et des schémas réalisés en direct.
Je tiens à souligner la qualité de la formation qui nous est ici offerte. Ce n’est pas juste une opinion personnelle, mais un avis unanimement partagé par l’ensemble des participants.
Après le refroidissement, les rafraîchissements.
Il faut toujours avoir des Belges dans un groupe. Même s’ils se moquent de nous et de nos soixante-dix et quatre-vingt-dix, ils sont fort sympathiques et savent amener le nécessaire.
L’un des participants, Bernard, est venu avec son épouse et un canidé nommé Désir.
(C’est donc un noir Désir.)
La motte de beurre a été personnalisée.
403, on sait ce que c’est. Mais je ne sais pas quel chenapan a osé rajouter « break » et « PU » (pick-up) alors que ce ne sont pas des dénominations utilisées à l’époque.
Les « breaks » sont en réalité des 403 commerciales ou familiales, et les « pick-ups » sont des camionnettes (éventuellement bâchées).
Marcel, notre professeur de carrosserie, à défaut d’avoir éclairé notre lanterne pour l’instant, a apporté un far.
Après le repas, nous allons nous balader. Ceci est un pick-up :
Là, on peut le dire. C’est une dénomination d’époque. C’est même un beau pick-up Dangel 4×4. C’est le véhicule d’Alain, et nous allons le suivre jusqu’à la maison où sont stockées ses 403.
Jean-François démarre sa 403. Je prends place à côté de lui.
Nous sommes suivis par la 403 de Marcel et celle de Jean-Marc. Il y a assez de véhicules pour emmener tout le monde sans prendre de voiture récente.
Il fait beau depuis mon arrivée hier. La pluie semble n’être venue que pour arroser mon trajet. On ne reverra pas une seule goutte d’eau de tout le stage.
Nous suivons le pick-up, dont le moteur diesel se fait sentir jusque dans les 403. Mais c’est lui le guide. Je ne sais pas si on aurait pu se débrouiller avec les panneaux…
Petite difficulté dans la montée. Ayant dû ralentir un peu trop, Jean-François est contraint de repasser la première. Hélas, il lui est impossible d’enclencher le levier de vitesse.
Cela dure quelques minutes, jusqu’à ce qu’il arrive à l’enclencher. Il me précise que cela lui arrive régulièrement. Sur un J9 je penserais à un embrayage nécessitant une purge (c’est une panne classique) mais sur la 403 ce n’est pas cela.
Au moins, on a le temps de profiter du paysage (sauf notre conducteur).
Jean-François finit par réussir à enclencher sa vitesse et nous repartons. Il faudra regarder cela rapidement…
Nous arrivons bientôt à destination.
(Si ce n’est pas une preuve que les voitures anciennes sont écologiques…)
Quatrième atelier : la pratique
Les 403 qui nous attendent ici ne sont pas toutes en état concours, et certaines ne reprendront jamais la route. Mais elles vont nous servir de support pour la partie pratique du stage mécanique.
Jusqu’ici, tout le monde a estimé que Jean-Marc était un bon prof. Maintenant, c’est à lui de tester si nous sommes de bons élèves…
Tout d’abord, nous testons les compressions d’un moteur, à l’aide de la manivelle.
Ensuite, nous remettons cela sur la voiture d’à côté, qui est plus complète (même s’il manque quelques bricoles comme la tête d’allumeur).
Ensuite, nous lui apportons une batterie. Elle ouvre les yeux après un long sommeil.
Mais est-elle encore capable de ronronner ?
Nous allons essayer…
Méthodiquement, tout est testé, nettoyé, remis en état.
Les connaissances des participants sont testées au fur et à mesure des étapes, dans la bonne humeur.
(À moins qu’il ne soit tout simplement en train de raconter une histoire Belge.)
Redémarrera-t-elle finalement ? Une petite vidéo vaut mieux qu’un long discours :
Avant de rentrer, nous faisons un tour des lieux.
Chaque épave de 403 est prétexte à de nouvelles explications intéressantes.
Il y a aussi le question qui revient à chaque fois : de quand date-t-elle ? Contrairement aux questions de mécanique, celle-ci ne me passionne guère. Sans doute parce que je suis nul à ce jeu, et sans doute également parce que je ne suis pas très attaché au respect de l’origine. Hormis lorsqu’elles sont destinées à être exposées dans un musées, les voitures anciennes doivent, pour moi, rouler et être utilisées dans n’importe quelle condition. Et tant pis si cela passe par des améliorations techniques ou esthétiques, tant qu’elles sont faites sans dénaturer le véhicule. Pour cette raison, je ne cherche pas à retenir quel était l’équipement de telle ou telle voiture selon son année de fabrication. Je préfère me contenter de savoir ce qui équipe la mienne, comment ça marche, et par quoi le remplacer en cas de besoin.
Il va de soi qu’il s’agit là d’une opinion personnelle, et je respecte tout à fait les opinions différentes. Je suis même assez content qu’il existe ce qu’on appelle les ayatollah de l’écrou d’origine qui sont là pour sauvegarder des véhicules strictement conformes à l’origine.
Il est bientôt l’heure de rentrer. Cette fois, je prends place dans la 403 diesel de Jean-Marc. Elle roule vraiment bien. Il faut dire que son propriétaire a fait quelques ajustements mécaniques pour cela…
Nous fermons la marche.
À un giratoire, les autres ont disparu. Nous les retrouvons rapidement.
Nous revoici à la maison.
C’est l’heure de l’apéro.
Après l’apéro, nous partons en ville, toujours en 403 (et sans le pick-up, qui n’était là que pour emmener du matériel). Je suis à nouveau à bord de la 403 de Jean-Marc.
Nous mangeons dans une pizzeria. L’ambiance est bonne. La serveuse ne se laisse pas démonter face aux blagues de Jean-Marc.
Pour les photos, je fais ce que je peux avec mon téléphone. S’il fait des photos correctes en extérieur, ça n’est pas terrible en intérieur. Par ailleurs, mon appareil photo compact n’est pas meilleur, et mon reflex ne voyage pas à vélo avec moi.
Après la pizzeria, c’est le retour (toujours dans la 403 de Jean-Marc en ce qui me concerne) et ma seconde nuit sous la tente. Je m’endors un peu plus vite que la veille.
Samedi 16 juillet :
Attention ! Interro !
Jean-Marc me demande de citer, dans l’ordre, les étapes que nous avons suivies pour remettre en route le moteur hier.
Cela tombe bien (ou mal, selon si on est optimiste ou pessimiste), car je comptais les lui redemander ! En effet, si je suis plutôt bon pour comprendre ce qui se passe à chaque étape, je suis très mauvais pour retenir une suite ordonnée d’étapes, quel que soit le domaine d’activités concerné (à moins que je n’aie une maîtrise suffisante du sujet pour élaborer moi-même la suite d’étapes).
Ma prestation n’est donc pas fameuse, mais elle est prétexte à de nombreuses explications complémentaires, et cette fois je prends note de chaque étape, dans l’ordre. Comme vous le verrez prochainement, j’ai en effet pris beaucoup de notes.
Cinquième atelier : l’électricité
Ce matin, on parle du schéma électrique, de la batterie, de l’éclairage, etc.
J’apprendrai en particulier qu’il ne sert à rien d’avoir un alternateur sur une 403 (ce que je considérais jusqu’ici comme une amélioration sur la mienne).
Sixième atelier : entretien de la 403 de Jean-François
Vous voyez cette jolie fontaine ?
Non loin d’elle se trouve la 403 de Jean-François, et il va s’agir de regarder pourquoi elle fuit légèrement de l’avant, et pourquoi la première ne passe pas toujours.
On commence par la mettre en place.
Puis, c’est Marcel qui s’y colle. Il n’est pas seulement compétent en carrosserie, mais aussi en mécanique.
La poulie se trouvant à l’avant du vilebrequin, fendue, est remplacée par une neuve. Jean-Marc nous a expliqué ce matin comment cette poulie était conçue pour éviter les fuites sans nécessiter la pose d’un joint.
Ensuite, Jean-Marc s’occupe de la tringlerie de passage des vitesses. Il trouve une rondelle montée à l’envers. C’est elle qui empêchait les vitesses de passer. Une fois le montage corrigé, la 403 est testée et roule à merveille.
Après cela, c’est l’heure de l’apéro puis du repas. Il fait suffisamment bon pour manger dehors alors nous en profitons.
Les chiens s’amusent. Celui-ci appartient à Alain et à sa femme.
Septième atelier : soudure
Marcel va boucher un trou sur une caisse de 403 nue.
Port du masque obligatoire…
Nettoyage et ponçage.
Pointage d’une pièce de tôle, refaite à la main.
Un beau cordon de soudure.
Puis le résultat une fois poncé.
C’est ce qu’on appelle du grand art.
Huitième atelier : garniture de frein
Jean-Marc nous montre comment démonter et remonter des garnitures de frein d’époque, qui se mettent avec des rivets.
Mais celles sur lesquelles nous travaillons sont usées. C’était juste pour la démonstration.
Ensuite, c’est l’apéro et le repas du soir, à nouveau pris sur place (et tant mieux).
Après le repas, Jean-Marc nous montre quelques vidéos : un court-métrage avec sa 403 pick-up camionnette, et d’autres voitures sur circuit et en course de côte.
On fait appel à mes compétences pour lire les vidéos sur l’ordinateur. Dans ce domaine là, c’est moi qui pourrais donner les cours…
Troisième nuit sous la tente. Je dors correctement.
Dimanche 17 juillet :
Le stage touche à sa fin. C’est la dernière demi-journée.
Neuvième atelier : graissage, pneumatiques et questions diverses
Jean-Marc répond à nos différentes questions, nous parle des pneus, du graissage, de l’huile…
C’est aussi le moment de faire ses courses. J’achète une pochette de joints pour le moteur. C’est Michèle qui l’emmène chez elle, en Suisse, car je crains de l’abîmer dans mes sacoches de vélo.
Elle se rend régulièrement à Belfort (où habite mon frère, et où habitera Ai durant la semaine à partir de septembre), donc elle aura des occasions de me la faire passer. Et en plus, elle habite près de la Francovélosuisse alors ça peut aussi être un prétexte pour passer la voir… Il suffira que je prévoie le nécessaire pour emmener la pochette sur mon vélo sans la déteriorer.
J’achète aussi une courroie, et une casquette du club.
Jean-Marc m’a également offert, comme à d’autres participants, 4 bougies neuves d’un stock de récupération, et son épouse Béatrice m’a offert, comme à d’autres participants, un porte-clés et deux t-shirts dont un qui date des 40 ans de la 403 en 1995 ! On est bien reçus, au Club 403 !
Je règle mes dettes au club.
Avant le repas, quelques explications nous sont encore données sur la soudure.
J’admire, en passant, le rangement impeccable de la maison d’Alain et de ses ateliers. J’espère faire (presque) aussi bien quand j’aurai ma propre maison.
Mais d’après lui, c’est encore le bordel et c’est trop encombré.
Il fait toujours aussi beau dehors, et même chaud.
Dernier repas ensemble, puis les participants s’en vont progressivement.
Il me reste à payer mes dettes à Alain (pour les repas), à remballer ma tente, et à partir, moi aussi.
J’emprunte l’ordinateur d’Alain pour regarder mon itinéraire et décider par où je rentre. Comme je souhaite regarder la longueur et le relief de différents itinéraires possibles, c’est mieux sur un ordinateur.
Ensuite, je remballe ma tente, recharge mon vélo et me voici prêt à partir.
Conclusion :
Un séjour aussi agréable qu’instructif, et passionnant. Je ne regrette pas d’être venu.
Jusqu’ici, je n’avais pas adhéré au club, car la cotisation est assez élevée : 40 €, majorés de 15 € la première année. À comparer aux 5 ou 10 € des associations auxquelles j’ai participé jusqu’ici, c’est une somme importante.
Mais je savais que j’adhèrerais un jour, car ce que le club propose à ses adhérents justifie pleinement le tarif de l’adhésion. Il y a tout d’abord les pièces, qui sont à des prix très bas, grâce à un travail de négociation permanent auprès des fabricants et des fournisseurs. Et ensuite, il y a le stage mécanique, qui est gratuit alors qu’une formation d’un tel niveau de qualité coûte en général très cher, quel que soit le domaine de compétences concerné.
Mon adhésion est donc chose faite, et je ne le regrette pas.
Comme vous le savez, j’avais déjà eu, précédemment, des contacts avec le club 203 – 403 de ma région, et je les trouve très sympathiques. Mais ce club est très axé sur l’organisation d’évènements (rassemblement de Vellefaux, camping à l’ancienne…), et très peu sur l’entre-aide entre adhérents et le partage de la connaissance. Je n’y ai pas vraiment trouvé ce que je recherchais.
C’est bien sûr une opinion, strictement personnelle, et les deux clubs ont leurs raisons d’exister. Ils ne répondent pas aux mêmes objectifs, et sont plutôt complémentaires que rivaux, comme me le faisait très justement remarquer Jean-Marc. Par ailleurs, je n’hésiterai pas, si mon emploi du temps le permet, à donner un coup de main à l’organisation du rassemblement de Vellefaux en septembre prochain. J’en ai aussi parlé à Alain, car après tout il n’est pas si loin que cela de ce rassemblement, dont la taille justifie le déplacement.
Bref. Désormais, après ce premier stage mécanique, je peux dire que j’ai trouvé ce que je cherchais auprès du Club 403 national. J’ai envie de m’investir dans ce club (à mon échelle, en fonction de mon temps et de mes compétences), et pourquoi pas d’organiser un des prochains stages mécaniques. Je serais ravi que ma 403 serve de cobaye pour des prochaines démonstrations de Jean-Marc. D’une part, cela ne pourra que lui être bénéfique, et d’autre part il y a tellement à faire dessus qu’elle pourrait servir à illustrer un certain nombre d’ateliers sur des sujets différents… Je vais réfléchir à tout cela.
Enfin bref, vous l’aurez compris, à moins d’être parfaitement autonome en mécanique et de ne jamais avoir besoin de pièces (ce qui serait plus qu’étonnant), vous faites une erreur si vous possédez une 403 et n’avez encore jamais adhéré au Club 403. Pour le faire, c’est ici que ça se passe.
Salut Adrien,
Bravo pour ton compte-rendu!!!
A bientôt j’espère!!
Cdt,
Thierry
Merci Thierry. Oui, à bientôt en 403 !
Bonsoir,
je possède une 403 depuis Noël et j’ai pu avoir de nombreuses informations sur cette Peugeot.
Formidable.
Merci
J’en suis ravi et je vous conseille très fortement d’adhérer au club.
En espérant vous voir un jour à un stage mécanique.
http://www.club403.org/fr/content/demande-dinscription